ASAPRO® déployé en deux semaines chrono dans les Hautes-Alpes

Témoignage de Nadine BERTIN

Chef du service Gestion de l’Offre et d’Appui PCSS
Département des Hautes-Alpes

 

Malgré un timing très serré, HIPPOCAD est parvenu à mettre en place la solution SVI d’ASAPRO® dans le département des Hautes-Alpes en quinze jours, formation des SAAD comprise. Par la suite, nos équipes ont travaillé avec le département pour favoriser la qualité des données transmises.

Cela fait maintenant neuf mois que le département des Hautes-Alpes a choisi de miser sur ASAPRO® pour prendre en charge la télégestion des Services d’Aide et d’Accompagnement à Domicile (SAAD) sur son territoire. Avant cela, il avait été parmi les premiers à essayer une solution concurrente, développée par un autre acteur du marché. Un outil alors pas suffisamment abouti, notamment au niveau de la comptabilité et de la prise en compte des règles de gestion, ce qui a poussé le département à chercher un autre partenaire une fois le contrat arrivé à son terme. HIPPOCAD avait alors remporté l’appel d’offres, et s’est mis au travail dès la mi-octobre 2019.

Au-delà des pures compétences sur ce marché, la neutralité d’HIPPOCAD a fortement pesé dans la balance au moment de choisir le nouveau prestataire. « Une véritable guerre se joue dans ce secteur car beaucoup d’éditeurs font de la télégestion tout en éditant des outils métiers », explique Nadine Bertin, cheffe du service gestion de l’offre et appui au sein du département des Hautes-Alpes. « Ces outils sont rarement interfaçables entre eux et les éditeurs ne font pas le nécessaire pour que cela change pour des raisons de concurrence. Ils rejettent la faute les uns sur les autres tandis que nous, départements et SAAD, nous retrouvons un peu otages de cette situation ». Focalisé exclusivement sur la télégestion et agnostique vis-à-vis des différents éditeurs, HIPPOCAD était le candidat idéal pour sortir de cet épineux problème.

« HIPPOCAD a fait preuve d’une réactivité extraordinaire »

Les objectifs sont très vite fixés. « Il nous fallait des données plus fiables et qui respectent nos règles de gestion, ce qui permet ensuite une facturation beaucoup plus fluide », poursuit Mme Bertin. Un paramètre complexifie légèrement la tâche : le manque de temps. Le contrat précédent s’étant achevé le 16 octobre, les équipes d’HIPPOCAD doivent reprendre l’ensemble du périmètre (une grosse vingtaine de structures) et rapatrier les données vers ASAPRO® en deux semaines, de sorte à ce que les SAAD puissent facturer dès le début du mois de novembre. Mission accomplie selon la cliente, qui reconnaît qu’HIPPOCAD « a fait preuve d’une réactivité extraordinaire ».

C’est par ailleurs pendant ces deux semaines que nos équipes se sont attelées au développement du flux de factures ESPPADOM attendu par le conseil départemental. Dans le même temps, les différentes structures recevaient des tutoriels et formations leur permettant d’apprendre à paramétrer ASAPRO® en prenant en compte les règles de gestion. Dès le 28 octobre, les intervenants étaient en mesure de télégérer depuis le serveur SVI ASAPRO® tout en conservant leur ancien code de télégestion pour limiter les changements. Le 6 novembre, les SAAD validaient leurs premières factures via le nouveau système.

Une charte au nom de la qualité des données

Neuf mois après le début de ce partenariat, la transition s’est faite sans encombres. Reste maintenant à travailler sur un enjeu majeur dans ce département : la qualité des données transmises par les SAAD. Un sujet sur lequel Nadine Bertin bataille depuis quatre ans. « Il peut arriver qu’un intervenant oublie d’horodater son passage via le SVI, explique-t-elle. En général, il passe alors par une application de télégestion mobile tierce. L’information récoltée n’étant alors, de fait, plus une donnée brute, impossible de savoir si elle a été altérée lors du processus ». Une problématique bien comprise par HIPPOCAD, qui travaille à l’élaboration d’une charte de télétransmission en collaboration avec plusieurs départements. L’objectif : favoriser la cohésion des différents éditeurs d’outils métier, et ainsi trouver un terrain d’entente autour de la qualité des données.

Partager sur facebook
Partager sur twitter
Partager sur linkedin

Restez informé(e) de notre actualité :